En effet, une étude de l’Université du Colorado parut en janvier 2016, démontre que l’activité physique pratiquée au plus jeune âge configure à vie et de manière bénéfique le microbiote intestinal ; notamment au niveau du métabolisme et de la santé santé mentale.
De fait, les micro-organismes de l’intestin sont particulièrement « plastiques » ou malléables au début de la vie. L’étude montre que de jeunes rats mis dans une situation d’exercice quotidienne développent une structure microbienne plus bénéfique, se traduisant par l’expansion d’espèces bactériennes probiotiques intestinales.
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